J'ai commencé à suivre particulièrement la lutte à la fin de l'année 2001 avec le storyline de l'Invasion. J'ai cependant commencé à suivre avec plus d'intérêt lors du premier brand split en 2002. J'étais déjà sur FNNATIOn à l'époque et je me rappelle d'une chose, les gens voulaient voir Tommy Dreamer lutter. Chaque semaine, on se plaignait que Dreamer n'était qu'un figurant dans l'Invasion et qu'il devrait lutter dans la division Hardcore de la WWE.
Si aujourd'hui, voir Tommy Dreamer dans un ring est une torture, en 2002, Dreamer avait encore quelque chose à donner dans le ring. La WWE l'a introduit dans une gimmick de slop qui mangeait ses cheveux, de shots au plancher et le crachat de L'Undertaker. Ce fut assez pour lui donner un spot sur la carte et étonnament assez pour le faire devenir champion Hardcore, un titre qu'il a défendu avec honneur jusqu'à l'unification des titres avec Rob Van Dam, à ce moment champion intercontinental.
Parce que la WWE voulait éliminer tous les titres secondaires, outre la ceinture World Heavyweight et celle par équipe, Rob Van Dam était dans une quête d'unification de titres qu'il fera d'abord avec le titre Européen en battant Jeff Hardy et avec ce combat face à Tommy Dreamer.
Le combat n'est pas très long, dix minutes à peine, mais je suis du genre à beaucoup apprécié les lutteurs qui en font beaucoup en très peu de temps. Tommy Dreamer prend environ 3 bumps bien stiffs en ce court laps de temps alors qu'il met parfaitement en évidence RVD, tout en ajoutant sa propre touche.
Quelques spots assez innovants au passage, surtout avec les séquences avec l'échelle. On a ici de l'Hardcore beaucoup plus du style ECW que WWE, qui intègre les mouvements avec l'objets plutôt que simplement des coups avec l'objet. Pour un dernier hourra pour le titre Hardcore, outre donner plus de temps, je ne pense pas que la WWE pouvait mieux faire.
Un court combat, mais très plaisant, bien monté et qui met tout le monde en valeur à sa façon.
Si aujourd'hui, voir Tommy Dreamer dans un ring est une torture, en 2002, Dreamer avait encore quelque chose à donner dans le ring. La WWE l'a introduit dans une gimmick de slop qui mangeait ses cheveux, de shots au plancher et le crachat de L'Undertaker. Ce fut assez pour lui donner un spot sur la carte et étonnament assez pour le faire devenir champion Hardcore, un titre qu'il a défendu avec honneur jusqu'à l'unification des titres avec Rob Van Dam, à ce moment champion intercontinental.
Parce que la WWE voulait éliminer tous les titres secondaires, outre la ceinture World Heavyweight et celle par équipe, Rob Van Dam était dans une quête d'unification de titres qu'il fera d'abord avec le titre Européen en battant Jeff Hardy et avec ce combat face à Tommy Dreamer.
Le combat n'est pas très long, dix minutes à peine, mais je suis du genre à beaucoup apprécié les lutteurs qui en font beaucoup en très peu de temps. Tommy Dreamer prend environ 3 bumps bien stiffs en ce court laps de temps alors qu'il met parfaitement en évidence RVD, tout en ajoutant sa propre touche.
Quelques spots assez innovants au passage, surtout avec les séquences avec l'échelle. On a ici de l'Hardcore beaucoup plus du style ECW que WWE, qui intègre les mouvements avec l'objets plutôt que simplement des coups avec l'objet. Pour un dernier hourra pour le titre Hardcore, outre donner plus de temps, je ne pense pas que la WWE pouvait mieux faire.
Un court combat, mais très plaisant, bien monté et qui met tout le monde en valeur à sa façon.