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Salut à vous, passionnés de comic books !

Comme sur l'ancien forum, ce nouvel espace d'échanges et de discussions se doit d'avoir son topic dédié à la bande dessinée américaine. Ici, il est question à la fois des oeuvres propulsées par les gros éditeurs comme Marvel ou DC, que les titres indépendants qui méritent tout autant l'attention des fans de comics.

Dans l'attente que ce topic se remplit de critiques, je vais petit à petit poster mes anciennes reviews dont j'ai gardé trace sur mon ordinateur. En espérant que ça vous plaira et que ça vous donnera des idées de lectures. Si on peut même échanger là-dessus, ce serait juste génial !

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J'ai relu Batman : City of Crimes que j'ai terminé hier. Peut-être une des histoires stand alone de Batman les plus sombres que j'ai lues. Ici, le vilain (Qui n'est jamais revenu après cette histoire) est une espèce d'entité sans visage pouvant créer des clônes des êtres humains à partir de saleté appelé The Body, son but est de contrôler la ville avec ces clones et il s'infiltre autant à la mairie que dans des clans de criminels pour faire son takeover.

Les dessins sont splendides, le ton est parfois trop lourd à mon goût et je suis bien déçu que ce vilain ne soit jamais revenu avec la façon dont l'histoire se termine. C'est cependant une des histoires de Batman les plus prenantes que j'ai lue, avec Bruce Wayne qui est rongé de remords de ne pas avoir sauvé une jeune femme qui visiblement avait besoin d'aide.

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Je me suis vite-fait renseigné sur ce comic book, mais je n'ai pas réussi à savoir où il fut édité en France (Urban ? Panini ?) et dans quel album. En tout cas, ça m'a l'air pas mal et au pire, il doit facilement être trouvable en VO.

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Comme indiqué sur le premier post, je vais partager mes anciennes critiques et on démarre avec ce qui fut mes débuts côté comics. La review date de 2015 (ça commence à remonter à loin).

X-Men l’intégrale 1963-1964

Commencer les comic books n'est jamais évident, il y a différents univers, énormément de personnages et beaucoup de séries. Et quand personne n'est en mesure de vous donner des pistes pour faire le grand saut, il faut se fier à son instinct. C'est ce que j'ai fait en lisant cette intégrale 1963-1964 des « X-Men » et bien que j'ai beaucoup aimé la lecture, je suis partagé. J'ai envie de vous inciter à lire ce bouquin, mais j'ai également conscience que c'est peut-être une fausse bonne idée et que cela peut vous dégoûter (définitivement ?) des comic books.

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J'ai dit instinct, mais disons plutôt que j'ai écouté ma logique. J'ai choisi un groupe de personnages que j'aimais bien, en l'occurrence les X-Men ; je me suis dit ensuite que je ne pouvais théoriquement être perdu si je démarrais par les premiers épisodes. Sauf que... devinez quoi ? Ils datent de 1963 !

Imaginez quelqu'un, qui sort du cinéma après avoir vu le dernier Marvel et qui souhaite retrouver - en format papier - toute l'excitation, l'action et la tension de ce qu'il a pu voir sur grand écran ; lui conseiller la genèse des X-Men est probablement l'une des pires options à lui soumettre. À me lire, on pourrait néanmoins penser que j'ai détesté... alors que non, j'ai vraiment bien aimé. Cependant, pour bien apprécier une telle lecture, il faut prendre du recul et se replacer dans le contexte de l'époque, ne pas s'attendre à une narration aussi dynamique que celles auxquelles nous sommes habitués aujourd'hui, ni espérer un dessin que je décrirais comme "moderne".

Pour ceux qui se demandent qui sont les X-Men, il faut savoir qu'ils sont assez différents des autres super-héros lancés par Marvel. Ils n'ont pas obtenus leurs pouvoirs suite à une expérience ou un accident, ils sont carrément nés avec, à cause (grâce ?) d'un gène X situé dans leur ADN, faisant d'eux des mutants. Il s'agit d'êtres génétiquement supérieurs à l'homo sapiens et en ce sens, ils font peur à une partie de la population. Cette peur s'est accentuée et une haine s'est développée envers eux à cause des agissements de Magneto, qui l'intention d'asseoir la domination des mutants sur le monde, considérant que c'est la suite logique des évènements, l'histoire ayant toujours favorisée l'évolution de l'espèce. Les X-Men étaient au nombre quatre au départ, mais Scott Summers, Warren Worthington III, Hank McCoy et Bobby Drake furent rapidement rejoints par Jean Grey. Ces adolescents formèrent ainsi la toute première équipe de mutant de l'histoire et la première opposition de Magneto et sa Confrérie des Mauvais Mutants (histoire de bien comprendre que c'est des méchants).

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J'ai personnellement grandi avec les films de Bryan Singer au début des années 2000 et le dessin animé intitulé « X-Men Evolution » sans forcément connaître le comic book original et les séries qui en découlèrent. C'est l'amour que j'ai pour ce groupe qui m'a poussé à me diriger vers cette intégrale regroupant les premiers numéros sortis en 1963 et 1964, sans forcément savoir initialement s'il s'agissait d'une bonne porte d'entrée dans l'univers de la BD américaine. J'ai été surpris de voir que l'équipe des X-Men était bien différente de celle que j'imaginais ; pas de Wolverine, Tornade ou Diablo, mais c'était malgré tout excitant. Je me rendais compte au fil de la lecture que j’allais littéralement à la découverte de toute une histoire.

Une autre chose m'a sauté aux yeux et c'est tout bête, mais il s'agit de la colorisation. Il s'agit de mon premier comic book et moi qui ai l'habitude de lire des mangas depuis des années et admirer des pages en noir et blanc, j'avoue avoir été séduit presque immédiatement. Je trouve que la couleur rend l’œuvre légèrement plus vivante et beaucoup plus explosive.

Pour ce qui est des dessins en eux-mêmes, je sais que ça peut en dégoûter certains et il est difficile de vendre un style aussi daté, mais personnellement je savais que je n’allais pas avoir quelque chose de très détaillé et net, à l’image de ce que l’on peut retrouver dans les bouquins d'aujourd’hui. Je n’ai donc pas été très dérangé par les dessins, d’autant plus que les planches de Jack Kirby sont compréhensibles. En ce qui me concerne, je n'ai eu aucun mal à comprendre ce qui était illustré et les batailles sont plutôt équilibrées, l'occasion pour moi de cracher encore un peu mon venin sur Kingdom Hearts (je l'ai toujours en travers de ma gorge). J'avoue qu'un effort aurait pu être fait sur le personnage d'Iceberg qui ressemble davantage à un tube de colle vivant, qu'un homme de glace.

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Allez, on va passer à ce qui m'a dérangé, parce qu'on peut croire que tout était parfait, mais il y a une chose qui m'a embêté du début à la fin : les dialogues. Ils n'ont parfois aucune utilité, si ce n'est combler un vide, comme si proposer quelques cases vides horripilait Stan Lee. C'est surtout agaçant lors des échanges entre Hank McCoy et Bobby Drake, le premier montre qu'il a du vocabulaire, mais parle comme s'il était en 1882, tandis que le second est juste le con de la bande, mais contrairement aux cons qui peuvent être cool, lui ne l'est pas. Globalement leurs interventions n'apportent rien, heureusement que ce n'est pas le cas des autres.

Conclusion : C'était très plaisant, mais...

Les aventures peu profondes et les dessins vieillots peuvent déranger, donc il m'est difficile de vous conseiller ce bouquin, mais si vous êtes désireux et motivé à l'idée de découvrir certaines des BD les plus mythiques qui existent, lancez-vous dans cette lecture. Pour ce qui est du contenu, j'ai apprécié les huit numéros proposés dans cette intégrale et je suis impatient de lire la suite, il ne me reste plus qu'à trouver le prochain volume.

Ma note : 5/5

Le positif :
+ Lire les origines du groupe
+ Des numéros dynamiques et plaisants à suivre
+ La présence des couvertures originales

Le négatif :
– Difficile d'accès, tant dans la narration que sur les dessins

© 1963, 1964, 2006 Marvel Entertainment

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Oh oui ! C'est dur à lire les vieux comics...les 1er Silver Surfer m'avait laissé pantois avec le perso qui ai en monologue ouin ouin constant...dur dur

J'ai relu récemment le run Bendis/Maleev sur Daredevil ! le dessin de Maleev peut en rebuter certains mais c'est peut-être ce que Bendis a fait de mieux dans sa carrière !

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Et bien étrangement, les débuts de Silver Surfer m'ont paru plus intéressants que ceux des autres séries Marvel du début des années 60. Il y avait comme une aura et une mystique autour du personnage ; alors oui, il pleurait beaucoup, mais ça faisait de lui un personnage attachant, à la fois terriblement puissant et dramatiquement faible, parce que Galactus.

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Bon après c'est des lointains souvenirs...je me rappelle de gros pavés (dans une bulle de bd faut le faire ! lol) genre "mais pourquoi la race humaine est-elle aussi autodestructrice ?" ça m'avait gonflé à l'époque...je préfère le surfeur assez détaché de l'humanité en mode loup solitaire complètement désoeuvré...c'est plus ça qui me le rend attachant personnellement !

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Batman : Curse of the White Knight


Histoire : Le fléau Jack Napier est de nouveau derrière les barreaux, mais la sérénité est loin d'être de retour à Gotham, et encore moins au Manoir Wayne, où Bruce peine à retrouver équilibre et sérénité. Son pire ennemi n'a pas seulement ébranlé ses convictions et sa raison d'être, il a également durablement saccagé l'image de Batman et sa légitimité aux yeux des habitants de sa ville. La disparition d'Alfred n'est pas sans séquelle non plus, bien qu'elle laisse derrière lui un héritage inattendu : le journal d'Edmond Wayne daté de 1685, premier de sa lignée à s'être installé à Gotham et adversaire d'un certain Lafayette Arkham, dont les ossements ont été récemment découvert dans la cellule du Joker...


Avis :
J'ai été surpris positivement pour ce COMIC. Pour une fois dans un COMIC, on tente des choses on ne reste pas dans la facilité du même ennemi une énième fois sans aucun vrai événements.

Déjà créer un vrai nouvel ennemi avec Azraël c'est génial. Il est costaud, il a ses convictions et il est classe (en rouge puis en tenue Batman). Raz le bol de voir 40 fois le même méchant. Ici on crée réellement et ca fait du bien.

Ensuite, revisiter les origines (et pour de vrai) de Batman c'est culotté ! Là vraiment en plus... Je ne peux pas révéler mais ca remet en cause la mythologie Wayne pour de bon. La relation Batman/Harley est également un point fort car l'ambivalence des rapports et des situations est palpable. L'incertitude qui est résulte est forte.

Enfin, il y a des vrais moments marquants avec Gordon par exemple.

Seul le chapitre Von Freeze est une erreur et une catastrophe. Ca n'a rien à faire là, ca casse le rythme. Bref, un petit loupé dont j'ignore la raison et l'objectif.

graphismes :
Coté dessins c'est moyen enfin pas exceptionnel pour un Comic. Ca reste lisible et fluide mais pas de planches qui marque.


Conclusion : a lire ! Franchement l'audace de l'auteur vaut le détour.

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SAISON DE SANG

Histoire :  Une petite fille s'avance. Elle ne sait rien de plus. Elle DOIT avancer - toujours en ligne droite - à travers un monde dangereux, superbe, fantastique. Si elle tente de s'arrêter, ou de faire demi-tour, ou de changer de direction, l'air autour d'elle prend vie et s'anime d'ombres furieuses qui la poussent à reprendre son chemin. Elle est terrifiée mais elle avance vers un destin aussi extraordinaire qu'inattendu... Son seul compagnon - son gardien - est un immense guerrier en armure (digne de Full Metal Alchemist !), capable d'écraser toutes les bêtes et tous les mécréants qui se mettent en travers de leur route. Leur périple dure une année. Les obstacles sont de moins en moins simples à franchir...


Avis :
Précisons de suite le point du livre : c'est un BD MUET découpé en 4 actes/4 saisons. C'est à dire sans dialogue (en dehors d'une langue étrangère quelque fois mais incompréhensible). Donc tout se joue sur l'émotion visuelle des expressions et des situations. La filiation de la petite fille et son gardien se dévoile petit à petit et leur voyage prend du sens peu à peu. C'est mélancolique de bout en bout et on ne peut qu'être triste en lisant. Il faut parfois un temps pour comprendre ce qu'il se passe sans l'aide des mots. Mais ca force à se concentrer et bien analyser les détails des images.  

J'avais déjà apprécié l'originalité de CODA leur oeuvre d'avant et on retrouve l'esprit fantaisiste dans Saison de Sang. Mais SDS tente une approche radicale car sans dialogue. C'est surtout cette créativité qui m'impressionne. Que ca soit les personnages, les monstres, les décors s'est loin des habitudes. Il y a une véritable recherche.


graphismes :
Forcément sans dialogue c'est vital ! Comme Coda, c'est coloré, beau et chatoyant. Parfois fouilli mais globalement c'est très jolie.


Conclusion : j'irais pas à hurler au chef d'oeuvre comme j'ai pu voir sur le net parfois mais c'est une approche originale, poétique et intéressante. A tester si vous aimez sortir des sentiers battus.

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ED GEIN AUTOPSIE D'UN TUEUR EN SÉRIE[/center]

Histoire : Ce récit révèle la véritable histoire d'un malade mental sous l'emprise d'une mère bigote et abusive. Cette biographie factuelle d'Ed Gein se focalise sur son enfance et sa vie de famille malheureuses, et sur la façon dont elles ont façonné sa psyché. Il explore aussi le choc collectif qui entoura l'affaire et la prise de conscience que les tueurs peuvent être des citoyens ordinaires.

Le traumatisme de ce tueur sera à l'origine de romans et films connus mondialement (Norman Bates dans Psychose, Leatherface dans Massacre à la Tronçonneuse ou encore, pour les plus connus, le Silence des Agneaux)



Avis :
Voici l’histoire glaçante, factuelle, sans superflux d'Ed Gein le tueur. Les auteurs analysent la psyché d'un fou de sa naissance à sa mort. On va comprendre les étapes, une à une, de destruction de l'esprit. Nous avons une grosse partie sur l'enfance calamiteuse d'Edward Gein avec une mère suffocante, omniprésente qui expliquera ensuite le rapport déviant aux femmes d'Ed. Cette mère est le monstre d'origine. Il y a quasiment que des faits avérés dans ce comic (sauf un viol présumé dans son enfance) et ca rend le lecture malsaine et difficile. On assiste ensuite aux meurtres, au procès et à la mort du tueur.

Le passage de interrogatoire est le plus fort à mon sens. On a un Ed qui répond simplement aux questions en mettant en avant toujours la défaillance de sa mémoire, plutôt facile et malléable. Il répond à tout, pas de violence, d'opposition, c'est déstabilisant. Comme si il n'y avait rien eu d'anormal...
Pendant le procès il y a aussi le passage où Ed joui presque sure photo de torture qu'on lui montre... Montrant à tous son vrai visage de tordu malade mental de sa tête ! Tous les moments où il porte un visage de mort, la comparaison avec des rites anciens etc...  


graphismes :
Le dessin correspond au sujet : terne, simple, gris.
Parfois choquant sans en faire des tonnes, c'est le bon ton.



Conclusion : Pas pour tous clairement car c'est une plongée dans la psyché d'un monstre sans empathie, sans humanité qui a marqué l'histoire contemporaine.

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LES TORTUES NINJA
SOUL'S WINTER

Histoire : Oroku Saki Shredder s’apprête à livrer une guerre sans merci aux bêtes dépourvues d’âme. Peu de temps après, le rat Splinter est en proie à une attaque psychique puissante qui a réussi à percer ses barrières. Il doit se préparer lui-même à attaquer son ennemi. Pour ce faire, Splinter préparer une mixtion à l’aide de son sang pour rentrer dans l’esprit de Shredder. Mais ce combat à distance tourne court : Splinter n’a pas assez de force pour faire face à son ennemi qui est bien trop fort pour lui. Il n’a d’autre choix que d’invoquer autour de lui quatre entités représentant chacune la terre, l’eau, l’air et le feu, les points cardinaux de l’antique boussole afin d’obliger Oroku Saki à faire face aux forces de la Terre. Voyant clairement dans le jeu de Splinter, Shredder met fin au combat psychique pour rassembler ses hommes et les envoyer contre ses ennemis. De son côté, maître Splinter réveille les quatre créatures qu’il a invoquées pour se préparer à la terrible bataille qui les attend...


Avis :
Ma 1ere réaction a été : qu'est-que c'est que ce truc ? En effet, on est loin des tortues ninjas certes mais loin de tout aussi. Splinter a l'air d'un malade hystérique, les tortues sont des monolithes sans personnalités et limite c'est Shredder le plus saint d'esprit. Cette BD est parfois considéré comme culte mais je pense que c'est abusé de dire ca... Il a du bénéficié de son côté décalé, gothique pour avoir cette aura. Car si on prend le recul et qu'on le lit comme un comic lambda, c'est confus et peu construit. L'espèce d'oiseau néant truc c'est incompréhensible...

Alors si vous voulez voir l'univers Tortues Ninjas sous un autre angle pourquoi pas. Après il faut savoir dans quel but ? Car là on peut se demander si il y avait une idée précise.


graphismes :
Très, très, très particulier... Je préviens car ca peut être perçu comme franchement moche. Un trait grossier, peu visible loin des formes netes. Ca demande donc un temps d'adaptation.



Conclusion : Pas mon style mais aussi un récit un peu farfelu et dur à suivre.

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Wow, visuellement c'est difficile à reconnaitre que c'est les Tortues Ninjas

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Oui le dessin est "étrange". Autre Tortue Ninja bizarre, j'aimerai me faire BODYCOUNT qui a l'air trash.

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J'ai récemment lu Killing Joke, je comprends pourquoi tout le monde en dit du bien.

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